28 octobre 2016
Présentation de l’éditeur
"Je sais que l'on m'observe. Il y a toujours quelqu'un. Quelqu'un qui essaie de me faire manger. C'est une femme. Elle me dit son nom, mais ça m'est égal. Elle ne m'intéresse pas. Rien ni personne ne m'intéresse vraiment. Il y a toujours quelqu'un qui m'observe. Toujours. Je veux partir d'ici, Je ne suis pas malade. Si Caleb était là, je sortirais sur mes deux pieds, heureuse, souriante, complète. Mais il est parti. Et ils ne me laissent pas le pleurer."
Mon avis
Après un premier tome en demi-teinte, on plonge dans le vrai vif du sujet avec l’initiation et l’entrainement d’Olivia à l’esclavagisme sexuel et le BDSM pur et dur. J’ai compris que ce n’est pas trop ma came, et que ce livre confirme que le vrai érotique et la dark romance (si c’est bien ça dont il s’agit dans ce livre) ne sont absolument pas faits pour moi. Les scènes m’ont mise mal à l’aise pour les personnages impliqués dedans, et je n’ai absolument pas trouvé de sentiment positif à leur lecture, du coup j’avoue que j’ai lu le livre dans les grandes largeurs.
L’histoire est racontée en alternance entre le passé et le présent, et c’est un vrai syndrome de Stockholm qui se met en place au fur et à mesure qu’on suit Olivia, mais aussi l’histoire de Caleb qui est davantage développé dans ce volet. Il n’empêche que je n’ai pas adhéré du tout. J’ai tenté, j’ai perdu, mais au moins je sais.
Vos messages
- Bien loin de la guimauve que j'adore !