04 mars 2019
Présentation de l’éditeur
Avec lui, elle va repousser ses limites
Avec elle, il va ouvrir son cœur
Noah est la parfaite incarnation de tout ce que Mélissa déteste. Les étudiants ultra-populaires qui enchaînent les filles comme les soirées ? Très peu pour elle, merci. D’autant que Noah ne se contente pas de la panoplie typique du bad boy du campus — non, ce serait trop classique ! —, il donne aussi dans l’illégalité en faisant des courses de voitures dangereuses et stupides. Clairement, il n’est pas son genre et elle est très, très loin de ressembler aux filles qu’il fréquente en général ; pourtant, Noah s’est mis en tête d’« apprendre à la connaître ». Et il n’a pas l’habitude qu’on lui dise non.
Mon avis
Après les bikers et le basket, nous pénétrons dans l’univers des courses de voiture illégales. Je suis friande de la saga Fast & Furious, et j’aime la plume de NC Bastian, donc je me suis plongée dans ma lecture avec enthousiasme. Il s’agit d’un pur New Adult, avec l’alternance des points de vue des deux personnages principaux.
J’ai bien aimé Mélissa qui essaie de tracer sa route sans embrouille, mais qui parvient aussi à surmonter ses doutes et avoir le courage de vivre ses sentiments. Les paris qu’elle fait avec Noah lui permettent de s’ouvrir et de faire sourire la lectrice par la même occasion. Par contre, je n’ai pas vraiment compris le comportement de Noah, il m’a déroutée et donc je ne me suis pas attachée à lui.
J’ai été déçue de ne pas voir autant de courses que j’aurais voulu, le titre et le résumé insistant quand même sur ce thème. L’auteure préfère se concentrer sur le couple et leurs dramas. Vous savez maintenant si vous lisez mes avis que je n’aime pas du tout les mélos qui séparent les couples pour des motifs fumeux. Et bien j’ai été servie là, et j’ai vraiment tiqué sur le procédé réchauffé. Dommage. J’ai aussi trouvé qu’il y avait pas mal de répétitions dans les phrases, surtout dans la première partie du roman, ce qui fait que ça s’étire un peu en longueur.
Enfin voilà, j’ai été déçue par ce roman, j’en suis la première désolée.