La Planète des Singes : Suprématie, Matt Reeves

Synopsis

Dans ce volet final de la trilogie, César, à la tête des Singes, doit défendre les siens contre une armée humaine prônant leur destruction. L’issue du combat déterminera non seulement le destin de chaque espèce, mais aussi l’avenir de la planète.

Mon avis

La trilogie prequel se conclut brillamment avec ce film qui montre que les animaux ne sont pas ceux qu’on croit. 

Woody Harrelson prouve une nouvelle fois ses talents d’acteur en incarnant le méchant de l’histoire, mais qui arrive à susciter des émotions contradictoires à travers son personnage et son jeu. 

Mais bien entendu, Andy Serkis vole la vedette avec un Cesar plus vrai que nature, et qui paraît beaucoup plus humain que certains qu’il combat. D’ailleurs, tous les singes sont troublants de réalité, et les effets spéciaux se fondent dans l’écran de sorte qu’on n’y pense plus.

Au-delà de la lutte entre les singes et les humains qui aboutit à l’histoire qu’on connaît, pleine d’action et d’explosions qui font pétiller les yeux, le message du traitement des animaux est présent en arrière-plan et fait réfléchir. Quelques références sont distillées en tant que clins d’œil à la mythologie de la franchise.

Pour un blockbuster, ce film donne plus d’émotions et matière à réflexion que les autres, et ça me plait !

Le film sort demain, merci Constance!