Kraven, un homme dont la relation complexe avec son père, l'impitoyable Nikolai Kravinoff, entraine vers une vengeance aux conséquences brutales, l'appelant à devenir non seulement le plus grand chasseur du monde, mais aussi l'un des plus redoutés.
Mon avis
Je ne connaissais pas Kraven, seulement qu’il fait partie de l’univers Sony avec Spiderman et Venom, donc j’étais curieuse de le découvrir et voir ensuite comment il s’imbrique parmi tous les autres personnages.
Aaron Taylor-Johnson a le physique pour interpréter un homme avec des super pouvoirs. Ses déplacements montrent toutefois trop d’effets spéciaux pour se fondre totalement dans le décor. J’ai été moins convaincue par le méchant de l’histoire, et encore moins par Russell Crowe avec un accent russe terrible et pas du tout la carrure d’un père tyrannique.
J’ai néanmoins suivie l’intrigue avec intérêt et j’ai été touchée par la volonté de Kraven de protéger la nature et les animaux, même si c’est de manière violente.
L’ensemble n’est pas vraiment réussi et je ne serais pas étonnée qu’il n’y ait pas de suite.
Le film sort en VOD aujourd'hui et en DVD et Blu Ray le 23 avril, merci Julien!
Quand sa sœur Hannah ne se présente pas le jour de son mariage, Raven Du Pont n'a d'autre choix que de prendre sa place. Pour elle, épouser Arès Windsor relève de la torture. Car si Raven est amoureuse du milliardaire depuis son adolescence, celui-ci n'a toujours eu d'yeux que pour Hannah. Mais ni lui ni elle ne peuvent s'opposer à la décision de la matriarche de l'empire Windsor. Pour la première fois de sa vie, les cartes sont redistribuées en faveur de Raven. Entre pressions et jalousies, parviendra-t-elle enfin à se battre pour elle-même ?
Mon avis
Ce roman est du drama sur drama, ce qui n’est pas vraiment ma tasse de thé ! Et pourtant, j’ai eu de l’empathie pour Raven et ses insécurités. Cette héroïne est gentille et ne veut qu’être aimée par ceux qu’elle aime, c’est difficile de la voir se faire traiter d’une aussi horrible manière. En revanche, j’ai eu du mal avec Ares qui, malgré ses airs de mâle alpha, ne sait pas ce qu’il veut et n’apprend pas de ses erreurs.
Leur romance est mignonne à suivre, surtout qu’on a leurs deux points de vue, ce qui permet de bien ressentir leurs tourments, et l’enchaînement des événements est un peu addictif à suivre, comme un soap opera ou une tele novela. La situation est quand même bien glauque, j’ai eu du mal surtout que l’autrice appuie bien et de manière répétitive sur certains sujets pour envenimer les choses.
Je suis sortie un peu lessivée par l’ambiance toxique amenée particulièrement par un personnage et du fait que les héros n’aient pas le courage de couper court malgré multiples incidents qui les font souffrir.
Ils ont tout du couple parfait, mais leur relation expire à la fin de l'été
Ella, scénariste de vingt-sept ans, se voit offrir l'opportunité d'une vie : travailler sur le scénario d'un film à gros budget se déroulant à New York. Seule ombre au tableau ? Voilà des mois qu'elle n'a pas écrit une ligne. En désespoir de cause, elle décide de briser la promesse qu'elle s'était faite et de retourner vivre dans la Grosse Pomme le temps d'un été.
Mais les étoiles semblent s'être liguées contre elle, car son nouveau voisin n'est autre que Parker Warren, célibataire le plus en vue du moment. Si leurs retrouvailles sont explosives – Ella le déteste cordialement depuis leur rencontre il y a deux ans –, le revoir a au moins le mérite de débloquer quelque chose : elle trouve dans l'écriture le parfait exutoire à la colère qu'elle nourrit contre le jeune milliardaire.
Réunis malgré eux, Parker accepte de l'aider à retrouver l'inspiration en se nourrissant de la magie de New York, en échange de quoi Ella se fait passer pour sa petite amie devant les paparazzis. Si l'été a toujours une fin, cette fausse relation, elle, pourrait n'être que le début...
Mon avis
Cette romance solaire permet un moment parfait d’évasion. Tout est fait pour se croire dans un rêve.
Alex Aster a choisi les lieux les plus célèbres de plusieurs métropoles. C’est si bon de flâner dans les rues de New York, une ville que j’adore, et de redécouvrir les endroits iconiques que j’ai déjà visités en vrai plusieurs fois.
Le héros, Parker, est très mignon, déterminé et tellement riche qu’il a la volonté et la possibilité plein de choses juste parce que cela rend Ella heureuse, une combinaison irrésistible. C’est excessif mais ça donne envie. Moi aussi je veux un milliardaire qui privatise le Jules Verne rien que pour moi!
J’ai été touchée par l’histoire d’Ella, j’ai compris son mode de fonctionnement, et donc toutes ses réactions, et ce jusqu’au bout. Le déroulement de leur relation est un moment suspendu à suivre de manière très agréable.
C’est une très jolie rom com avec plein d’émotions, un peu de scènes hot mais pas trop, et une belle balade touristique qui donne envie de partir en vacances et trouver un Parker… haha
Rue Siebert a une règle d'or : elle n'accorde jamais de second rendez-vous. Cela participe à son équilibre de vie. Des amies fidèles (enfin, juste deux), la stabilité financière qui lui a fait défaut dans son enfance et un job de rêve chez Kline, une entreprise de biotechnologie, suffisent à son bonheur. Alors, quand elle quitte Eli Killgore après une soirée mémorable, elle sait qu'elle ne le reverra jamais. Seulement, le lendemain matin, Rue apprend, médusée, que Kline a été rachetée... par Eli et ses associés. C'est un homme qui a l'habitude d'obtenir ce qu'il veut, en affaires comme en amour. Sauf que Rue Siebert est catégorique : elle ne va rien lui céder, et surtout pas son cœur.
C'est un peu le courant alternatif entre Ali Hazelwood et moi, même si j'aime globalement toutes ses histoires. J'ai adoré ce roman, dont l’histoire m’a rappelé Love theoretically, qui m'avait aussi énormément plu. J’ai pris beaucoup de plaisir à avoir le point de vue d’Eli qui est vraiment parfait, gentil, compréhensif et respectueux. Rue m’a touchée avec son caractère et son passé, j'ai compris son attitude qui ne m'a pas du tout rebutée. Leur romance est trop mignonne, et même s'il y a du spicy, cela ne m'a pas perturbée.
C'est toujours une bonne surprise quand il y a des références à certains personnages d’autres romans d’Ali Hazelwood, ce qui forme un univers de l'autrice dans lequel ses protagonistes se connaissent et cohabitent. J'ai particulièrement apprécié les références à Hunger Games et les piques habituelles à Musk, ce qui explique pourquoi l'autrice craint les problèmes si jamais elle devait voyager à l'international.
Evelyn se souvient de toutes ses vies.
Elle sait que, dans chacune d'elles, elle est tombée éperdument amoureuse d'Arden. Et que, dans chacune d'elles, elle a été assassinée. Avant son dix-huitième anniversaire. Des mains de son âme sœur.
Cette fois, le destin l'envoie au pays de Galles, dans une famille unie, avec une petite sœur qu'elle aime plus que tout, mais qui est atteinte d'une maladie mortelle. Gracie a besoin d'une greffe de la part d'Evelyn, dont les dix-huit ans approchent dangereusement.
Pour sauver Gracie, Evelyn va vite devoir trouver Arden et le convaincre de l'épargner. Mais surtout, essayer de ne pas tomber amoureuse de lui... à nouveau. Saura-t-elle briser la malédiction et défier l'infini ?
Ce récit de réincarnation est plaisante à suivre, avec des personnages touchants et une intrigue remplie d'émotion qu'on découvre petit à petit jusqu'à une révélation surprenante. Il m'a manqué un peu de profondeur et de réflexion dans les sujets abordés du temps qui passe, les enseignements retirés ou les regrets. L'autrice se focalise sur la romance, ce qui est tout à fait justifiable. Les histoires dans plusieurs endroits de la planète, à plusieurs époques, et différents amours, sont intéressantes à suivre, quoiqu'un peu rapides encore une fois, j'aurais aimé encore plus me plonger dans des contextes historiques complexes. Cela reste une belle romance.
Damian et Stella se rencontrent de façon peu commune après des funérailles. Par le passé ils ont tous deux subi des traumatismes différents, qu’ils gèrent différemment.
Stella aime faire plaisir à son entourage alors que Damian est asocial. Une proximité forcée, via un mariage arrangé, les oblige à se retrouver coincés l’un avec l’autre, pour un minimum de six mois. Ils doivent apprendre à vivre ensemble et à s’en accommoder, mais ça va un peu plus loin que ce qu’ils avaient prévu au départ.
J'aime bien les histoires de Brittainy C Cherry qui sont toujours pleines d'émotion et de douceur. Celle-ci est dans cette ambiance avec deux êtres opposés qui vont apprendre à cohabiter. Stella m'a énervée à être aussi passive avec son copain alors qu'elle est solaire et dynamique par ailleurs. Damian est moins ours grognon que supposé au début, il a des réactions intelligentes. Le problème des histoires de cette autrice est l'ajout de dramas extrêmes et inutiles à un moment donné, et celle-ci n'échappe toujours pas à la règle avec des éléments rocambolesques et ridicules qui m'ont un peu fait décrocher. Il n'y avait vraiment pas besoin de ça.
Travailler avec son ex ? Un vrai sport de contact !
Nora Mackenzie a tout fait pour atteindre son rêve d’être agente sportive. Y compris larguer Derek Pender, son petit ami à la fac. Des années plus tard, le boss de Nora lui annonce que son tout premier client n’est autre que Derek, devenu l’un des joueurs les plus célèbres de la NFL.
Pourquoi accepte-t-il de travailler avec elle ?
Elle ne tarde pas à le comprendre : si l’on en croit ses demandes farfelues, dignes des plus grandes divas, Derek a bien l’intention de lui rendre la vie infernale et de la forcer à démissionner. Pas de chance pour lui, Nora adore les défis…
Mon avis
J’avais beaucoup aimé The Cheat Sheet de l’autrice, et je suis tout aussi convaincue par ce spin off qui suit un autre membre de l’équipe de football.
J’adore les histoires de seconde chance, et encore plus quand le héros est secrètement amoureux de l’héroïne, et qu’il est aussi respectueux, protecteur et gentil. Nora, quant à elle, est ambitieuse et déterminée, cela n’entraine que de l’admiration avec la façon dont elle surmonte les obstacles. Leurs interactions crépitent fortement!
Il y a des touches d’humour, notamment grâce aux amis de Derek qui sont barrés. C’est aussi touchant de revoir Nathan et Bree du roman précédent. Il y a un peu plus de scènes hot, mais ce n’est pas du tout important dans le livre.
C'est un roman très feel good, sans drama, que j’ai dévoré.
Le roman sort demain en ebook et le 9 avril en papier.
Un incroyable cadeau lui donne le pouvoir de tout changer. Mais le prix à payer pourrait être trop élevé... Pour sauver son peuple, Diem doit survivreaux trente prochains jours en concluant un marché avec ceux qu'elle déteste le plus : les membres de la famille royale de la Maison Corbois. Immergée dans le monde des Descendants, elle se rend vite compte qu'il n'est pas si évident de distinguer le bien du mal. Alors que la guerre civile est sur le point d'engloutir le royaume, des révélations viennent ébranler tout ce qu'elle croyait savoir...
Le 1er tome Spark of the Everflame fut une excellente surprise donc je me suis jetée sur la suite. J’aime toujours autant l’histoire, l’univers et Luther qui est un héros tellement dévoué et amoureux qu’il n’y a que l’héroïne qui ne veut pas le voir…
Mais je ne supporte pas Diem. Elle n’a quasi pas pris une seule bonne décision dans l’ensemble des 2 livres. Même si sa colère est justifiée dans le récit, elle réagit toujours mal, se trahit et trahit les autres car elle est irréfléchie, pense savoir gérer des personnes alors qu’elle se fait manipuler, et ne place pas sa confiance en ceux qui le méritent.
Bref, les avis sur le tome 3 me confirment à arrêter la saga ici alors que j’aime vraiment… sauf l’héroïne qui gâche tout.
Bien avant la naissance de Ravka, du Little Palace et de la Seconde Armée, le Darkling était un simple adolescent solitaire aux pouvoirs extraordinaires... Découvrez son histoire.
Je n'ai pas tout lu du Grishaverse mais je suis très curieuse du personnage du Darkling qui est le méchant de l'histoire. Ce roman graphique permet d'avoir un éclairage instructif sur la jeunesse du Darkling, ses sentiments et sa vision pour son peuple. Celui-ci était un ado presque comme un autre et sa volonté de libérer des Grisha est compréhensible, mais pas sa manière d’agir plus tard.
Les illustrations sont belles, j'ai beaucoup aimé en particulier les personnages qui sont très expressifs.
Intrépide. Tenace. Et aux commandes d'un héritage plutôt encombrant. J'ai enfin repris possession des terres ancestrales, mais cette victoire s'accompagne d'une tonne de nouveaux problèmes. La disparition de mes parents reste un mystère qui hante chaque coin brumeux des Highlands. Comme si ça ne suffisait pas, des démons Fomori sont aperçus un peu partout et Aifric Moncrieffe est toujours aussi déterminé à me voir passer l'arme à gauche. Quant à Byron, malgré ses magnifiques yeux verts, il ne remarque pas la véritable nature de son père. Mais si le destin pense qu'il peut me dicter ma conduite, il va être surpris. Je compte bien prendre ma vie en main, quitte à affronter une fois de plus les ténèbres qui règnent de l'autre côté du Voile.
Ce troisième tome qui bouge beaucoup avec une héroïne qui ne perd pas ses jeux de mots foireux face au stress et au passé. Humour, émotion et action sont donc au rendez-vous, et ça a bien fonctionné encore une fois. Integrity est bien maline même si parfois j’ai envie qu’elle aille droit au but plutôt que de s’attarder sur le chemin à certains moments, et qu'elle est trop pacifiste. Byron est énervant avec son honneur collé à la peau qui met tout le monde en danger, lui y compris. J'ai hâte de lire le volet suivant et ultime de la saga car la fin est un gros choc.
À l'aube des cinquantièmes Hunger Games, la peur s'empare des districts de Panem. Cette année, en l'honneur des Jeux de l'Expiation, le nombre de tributs arrachés à leur famille pour participer à ces jeux cruels sera doublé !
Dans le district 12, Haymitch Abernathy tente de ne pas trop penser au terrible tirage au sort. Il est concentré sur sa survie et sur la survie de celle qu'il aime.
Alors, quand le destin le désigne comme tribut, son monde s'écroule.
Forcé de tout quitter, il est emmené au Capitole avec trois autres membres de son district : une amie qu'il considère comme une sœur, un parieur compulsif et la fille la plus prétentieuse de la ville.
Alors que les Jeux sont sur le point de commencer, Haymitch comprend que les épreuves sont truquées et qu'il n'a aucune chance. Pourtant, quelque chose en lui le pousse à se battre... pour que ce combat dépasse les frontières de l'arène mortelle.
Mon avis
Suzanne Collins nous surprend depuis plus de 16 ans avec une trilogie inoubliable puis deux prequels inattendus, sans aucune promo de sa part. Les propos dans ses histoires sont suffisamment puissants pour comprendre ce qu’elle a envie de dire.
Ce roman raconte les 50èmes Hunger Games, les deuxièmes Jeux de L’Expiation, ceux d’Haymitch. Son histoire est déchirante. On a beau savoir la fin, on est bouleversé par son parcours, les souffrances et les pertes qu’il a du subir. C’est un bon garçon, qui aime sa famille, sa petite amie et ses camarades de district, et qui a sa vie complètement bousillée par un système qui le dépasse.
Les horreurs se succèdent et vont de plus en plus loin, Il y a des scènes très violentes et rappellent à tous qui est le véritable ennemi. Le message politique est clair avec les réflexions sur la soumission implicite et la propagande, ainsi que divers sujets de société qui m’ont interpellée. Impossible de ne pas se référer à la situation actuelle de la planète.
J’étais tellement triste dès la première page et j’ai fini par une bonne crise de larmes car on ne peut pas rester insensible à ce qui arrive à ces enfants courageux et solidaires.
Il y a énormément de connexions avec les romans précédents, le plus important étant Catching Fire (L’embrasement en VF), ainsi que La ballade du serpent et de l’oiseau chanteur, qui donnent matière à réflexion sur ce qu’on a suivi dans la trilogie et donnent envie de relire les livres et revoir les films (j’ai revu Catching Fire).
Une adaptation au cinéma est déjà prévue en novembre 2026, avec un bon casting, le film va être incroyable.
Trois destins opposés, deux amants maudits et un héritage oublié...
Désormais roi de Maridrina, Keris ne peut empêcher que sa relation interdite avec Zarrah soit révélée au grand jour. Quand l'impératrice la jette en prison, il sait qu'il n'existe qu'un seul moyen de sauver celle qu'il aime : s'allier avec le royaume qu'il a bien failli détruire.
Zarrah, prisonnière sur la sinistre île au diable, est confrontée à un choix : regagner les faveurs de l'impératrice qui l'a condamnée, ou mourir en tant que traîtresse.
Mais il existe une troisième voie, si Zarrah ose l'emprunter : celle de la lutte pour se réapproprier un destin usurpé, inextricablement lié à la rébellion qui veut renverser la tyrannie.
Alors que les étoiles semblent décidées à les séparer, Keris et Zarrah doivent tout faire pour se retrouver avant qu'il soit trop tard...
J’aime toujours autant cette série et j'ai apprécié de suivre les aventures qui se multiplient dans ce tome dense en tension et comme d'habitude en stratégie militaire. J’ai été un peu déçue par Keris qui n’a pas été aussi réfléchi que dans les tomes précédents, alors que Zarrah est trop idéaliste et n'apprend toujours pas de sa confiance trop vite placée. Les deux personnages veulent changer et ne plus recourir à la violence mais se font quand même avoir souvent. Leur histoire d'amour contrariée est néanmoins mignonne à suivre. Je suis contente de revoir Aren et surtout Lara qui est décidément une fonceuse que j'admire.
Ce tome conclut les 4 tomes de la saga pour moi même s'il y a une nouvelle duologie qui va sortir dans le même univers.
Tout juste arrivés à l’université, Wes et Liz font face à de nouveaux défis en tant que nouveaux étudiants. Après des mois de relation à filer le parfait amour, une tragédie les a séparés alors qu'ils étaient sur le point de commencer leur vie à UCLA (l’Université de Californie à Los Angeles). Maintenant qu'ils sont réunis sur le campus, Wes est déterminé à reconquérir Liz, même s'il sait qu'il lui a brisé le cœur lorsqu'il a mis fin à leur relation. Il a un plan infaillible inspiré de tous les grands gestes tous droits sortis de ses comédies romantiques préférées. Mais Liz reste insensible, surtout qu’elle semble se rapprocher d’un autre garçon. Wes est prêt à tout pour séduire Liz une nouvelle fois, mais se pourrait-il qu’il soit déjà trop tard ?
J’ai aimé cette suite de Better than the movies (voir mon avis ICI) même si j’avoue qu’elle n'est pas vraiment utile et sans logique par rapport au premier roman. L’autrice fait souffrir ses personnages sans trop de raison, la dernière partie du livre est ma préférée car davantage dans l’énergie du premier volet. L’histoire se passe à l’université mais c’est tellement soft que je le classe en YA.
Il y a malheureusement peu de scènes en références aux comédies romantiques malgré les entêtes de chapitres, et beaucoup de paroles de Taylor Swift en revanche. Tous les personnages sont mignons et gentils, la romance est chou, j’ai aimé l’alternance des points de vue. La relation entre Wes et son père est enfin abordée, mais lisez les novellas en VO pour davantage creuser le sujet.
A WITCH...
Rune Winters is on the run. Ever since the boy she loved, Gideon Sharpe, revealed who she was and delivered her into enemy hands, everyone wants her dead. If Rune hopes to survive, she must ally herself with the cruel and dangerous Cressida Roseblood, who's planning to take back the Republic and reinstate a Reign of Witches--something Cressida needs Rune to accomplish.
A WITCH HUNTER...
Apparently it wasn't enough for Rune to deceive Gideon; she's now betrayed him by joining forces with the witch who made his life a living hell. Gideon won't allow the Republic to fall to the witches and be plunged back into the nightmares of the past. In order to protect this new world he fought for, every last witch must die--especially Rune Winters.
AN IMPOSSIBLE CHOICE...
When Rune makes Gideon an offer he can't refuse, the two must pair up to accomplish dangerous goals. The more they're forced into each other's company, the more Gideon realizes the feelings he had for Rune aren't as dead and buried as he thought. Now he's faced with a terrible choice: sacrifice the girl he loves to stop a monster taking back power, or let Rune live and watch the world he fought so hard for burn.
J’avais beaucoup aimé le premier tome Heartless Hunter (voir mon avis ICI) donc j’ai lu cette suite et fin dès sa sortie en VO, et c’était aussi bien que j’espérais.
Rune et Gideon sont des vraies ennemis, devant éliminer l’autre pour protéger son clan, mais les sentiments embrouillent leurs certitudes. Cela donne beaucoup d’action et de suspense dans leurs confrontations, avec des rebondissements efficaces mêmes si prévisibles, et quelques facilités dans la poursuite de l’intrigue. Le roman ne tire néanmoins pas en longueur et j’ai dévoré les pages rapidement tant j’ai été prise dans l’histoire.
Il y a plein de « tropes » qui font couiner les lectrices, et qui m’ont bien fait rire car j’avais l’impression que des éléments d’une liste étaient en train d’être cochés, mais j’ai plongé tête la première dans la romance torturée.
J’ai passé un excellent moment avec cette duologie rythmée.
Adalyn Reyes a consacré sa vie aux Miami Flames. Pourtant, lorsqu'une vidéo d'elle se battant avec la mascotte de l'équipe devient virale sur les réseaux, son club l'exile à Green Oak, petite bourgade de Caroline du Nord, pour reprendre en main l'équipe locale. Ce coup du sort serait-il l'occasion pour Adalyn de prouver sa valeur ? Ses espoirs s'envolent quand elle découvre que les joueuses portent des tutus à l'entraînement (pas pratique), qu'elles ont des chèvres de compagnie (manque de discipline), qu'elles sont immédiatement terrifiées par leur nouvelle coach (contre-productif) et... qu'elles n'ont que neuf ans. Adalyn pensait avoir touché le fond, jusqu'à ce qu'elle rencontre son voisin. Ancien gardien professionnel grincheux - voire franchement hostile -, Cameron Caldani a l'air bien décidé à lui mettre des bâtons dans les roues...
Mon avis
Cette romance stand alone contemporaine se passe dans l’univers du sport, mais de manière décalée avec une bande de petites filles toutes mignonnes qu’il faut gérer. Cela entraine des moments rocambolesques au début, mais ça s’efface peu à peu au profit de la romance plus classique. Je ne sais pas si c’est un bien ou un mal, ça dépend des goûts des lectrices, mais en tout cas, j’ai toujours personnellement du mal à entrer dans les romans d’Elena Armas, heureusement que ça s’améliore au fil des pages.
Adalyn est une héroïne qui refoule tellement ses sentiments et ses doutes que ça fait mal de la voir serrer les dents jusqu’au bout du livre. Je connais des personnes comme cela et ça fait penser qu’elles vont exploser ou faire un burn out, ou les deux. Cameron est ronchon mais protecteur, je l’ai trouvé chou dans son évolution et son support à Adalyn. La romance est douce et agréable à suivre.
C’est dommage que la couverture française ait enlevé un chat et une chèvre par rapport à l’illustration originale, chaque animal a une signification dans l’histoire.
Le roman sort la semaine prochaine, le 19 mars, merci J'ai Lu!